Rechercher la boutique:

  • Compositeur
  • Instrumentation
  • Niveau de difficulté
  • Produits
Rechercher la boutique

CONTENU/DÉTAILS

Degré de difficulté (Explanation)
Autres titres du même degré de difficulté
Concerto pour piano Sol majeur KV 453
6 moyen

CONCERNANT LE COMPOSITEUR

poursuivre...

Wolfgang Amadeus Mozart

Mozart est l’un des rares compositeurs à avoir produit des œuvres exemplaires dans tous les genres musicaux. Grâce à ses tournées de concerts entreprises de bonne heure il a recueilli de multiples et diverses impressions musicales (Londres, Mannheim, l’Italie, Paris) qu’il a assimilées au cours de sa jeunesse et qui ont contribué à forger son langage musical jusqu’à son accomplissement.

1756Né le 27 janvier à Salzbourg, fils du musicien Leopold Mozart, plus tard compositeur de la cour. Un enseignement très précoce de la musique, sous la férule de son père, à partir de 1761 et premières compositions à l’âge de 5 ans.
1763–66Assez longues tournées de concerts dans diverses villes allemandes et à Paris, Londres, Amsterdam, en Suisse. Il compose ses premières sonates pour violon et piano K. 10-15, dédiées à la reine Charlotte, de même que les premières symphonies K. 16, 19, écrites à Londres, qui traduisent l’influence des œuvres de Johann Christian Bach et Karl Friedrich Abel (forme tripartite de la Sinfonia italienne).
1767Création à Salzbourg du Singspiel sacré «Die Schuldigkeit des ersten Gebotes» («Le devoir du Premier commandement») K. 35 (composé avec Michael Haydn et Anton C. Adlgasser) et de l’Intermède «Apollon et Hyacinthe» K. 38. Voyage avec son père et sa sœur à Vienne.
1768Création (peut-être) à Vienne, du Singspiel «Bastien et Bastienne» K. 50. Composition de ses premières messes.
1769Représentation du dramma giocoso «La finta semplice» K. 51 à Salzbourg.
1769–71Deux voyages en Italie; il rencontre entre autres Farinelli, P. Nardini et le père Martini; rencontre avec Hasse lors du second voyage. Création à Milan en 1770 et 1771 de l’opera seria «Mitridate, Re di Ponto» et de la festa teatrale «Ascanio in Alba». Composition de symphonies et du 1er Quatuor à cordes (1770, K. 80).
1771Composition de l’oratorio «La Betulia liberata» K. 118 à Salzbourg et en Italie.
1772Création de la Serenata drammatica «Il sogno di Scipione» K. 126 pour l’intronisation de l’archevêque de Salzbourg Hieronymus comte Colloredo. Mozart est engagé et appointé comme Konzertmeister de la chapelle de la cour de Salzbourg (dont il était membre gracieux depuis 1769). Troisième voyage en Italie avec son père, création à Milan du Dramma per musica «Lucio Silla» avec un bon succès. Le dernier voyage en Italie marque la fin de sa jeune phase d’appropriation: il s’est exercé dans tous les genres instrumentaux importants (symphonie, sonate, quatuor à cordes) et dans tous les genres courants de l’opéra (Singspiel, opera buffa, opera seria, festa teatrale).
à partir de 1773Composition de quatuors à cordes (K. 168-173) sous l’influence de Haydn, de symphonies, divertimenti, sérénades. Sollicité par ses tâches de service, il se consacre plus intensément à la musique sacrée; plusieurs messes voient le jour. Il se lance dans la composition de concertos pour violon et pour piano.
1775Création à Munich du dramma giocoso «La finta giardiniera» et de la Sérénade «Il Rè pastore». Sonates pour piano K. 279-284.
1777Il quitte provisoirement son poste et entreprend, pour se faire connaître, un voyage avec sa mère à Munich, Mannheim et Paris.
1778Composition de la Symphonie parisienne en Ré majeur (K. 297). Il assiste à Paris à la querelle entre Gluckistes et Piccinnistes. Édition de sonates pour violon.
1779Il reprend son service à Salzbourg en tant qu’organiste de la cour. Messe du Couronnement en Ut majeur.
1781Création à Munich de la tragédie lyrique «Idoménée» qui réalise une symbiose entre des éléments français et italiens. Voyage à Vienne. Après sa rupture avec l’archevêque de Salzbourg, il démissionne et déménage à Vienne où il gagne sa vie en tant que compositeur indépendant et par une activité de concerts et d’enseignement. Sa dernière grande période créatrice vient de commencer.
1782Il apprend auprès du baron van Swieten à connaître les œuvres de Bach et de Händel; sur ce il arrange les fugues de Bach et introduit dans ses œuvres le «style savant» (fugue et contrepoint) aux côtés du «style galant» (entre autres les Quatuors à cordes en Sol majeur K. 387, en 1782; la Sonate pour piano en Fa majeur K. 533, en 1786; la Symphonie Jupiter K. 551, en 1788; La «Flûte enchantée» et le Requiem en ré mineur K. 626, les deux en 1791). Création à Vienne du Singspiel «L’Enlèvement au sérail». Composition de la Symphonie Haffner en Ré majeur K. 385.
1738Messe en Ut mineur K. 427, Symphonie «Linz» en Ut majeur K. 425.
1784Quatuor «La Chasse» en Si bémol majeur K. 458.
1785Création de l’oratorio «Davide penitente» K. 469 à Vienne. Quatuor en Ut majeur K. 465 («Les dissonances»).
1786Création de la comédie avec musique «Der Schauspieldirektor» (Le Directeur de théâtre) K. 486 dont Salieri triomphe avec son œuvre concurrente «Prima la musica e poi le parole». Création à Vienne de l’opera buffa «Les Noces de Figaro» dont les sections finales à l’action interminable constituent l’apogée de l’opéra bouffe. Symphonie «Prague» en Ré majeur K. 504.
1787Sérénade en Sol majeur K. 525 (Une Petite musique de nuit). Il est nommé compositeur de chambre impérial et royal. Création à Prague du dramma giocoso «Il dissoluto punito ossia Il Don Giovanni» (Don Juan) dans lequel fusionnent l’opéra sérieux et l’opéra comique.
1788Composition des grandes symphonies en Mi bémol majeur K. 543, en Sol mineur K. 550 et en Ut majeur (Jupiter) K. 551. Quintette pour clarinette en La majeur K. 581.
1790Création à Vienne du dramma giocoso «Così fan tutte ossia La scuola degli amanti».
1791Création à Prague de l’opera seria «La Clémence de Titus» et à Vienne du Singspiel «La Flûte enchantée». Concerto pour clarinette en La majeur K. 622. Le Requiem demeure inachevé. Il meurt le 5 décembre à Vienne.

© 2003, 2010 Philipp Reclam jun. GmbH & Co. KG, Stuttgart

About the Authors

András Schiff (Réduction pour piano, Doigtés)

» Biography

Bij de uitvoering vlecht Schiff door zijn eigen cadensen dan ook wel eens een citaat uit een opera en slaat daarmee een brug tussen concertzaal en theater. Zijn inbreng is van onschatbare waarde en opent verrassend nieuwe perspectieven op stukken die ons zo vertrouwd leken.

Pianowereld, 2007

… these new editions exude friendliness to performers on modern instruments and can be recommended wholeheartedly …

International Piano, 2007

Die Herausgeber Stephan Hörner, Norbert Gertsch und Ernst-Günter Heinemann garantieren eine genaue und doch kritische Wiedergabe der originalen Vorlagen, was in den Bemerkungen und den unbedingt lesenswerten Vorworten zum Ausdruck kommt.

Schweizer Musikzeitung, 2007

Was ist nun das Besondere dieser Neuausgabe? Werfen wir einen Blick in das von Stephan Hörner herausgegebene Klavierkonzert G-Dur KV 453, das Mozart in einem seiner produktivsten Jahre – 1784 – für seine Schülerin Barbara von Ployer schrieb. Zunächst fällt einmal das gegenüber älteren Ausgaben aufgelockert und großzügiger dimensionierte Satzbild auf – András Schiff verzichtet in seinem Klavierauszug auf den Ehrgeiz, wirklich jeden Mittelstimmeneinsatz der zweiten Violine oder affirmative Hornrufe in den Klaviersatz zu übernehmen. Der Mut zur Lücke wirkt erfrischend und klärend – dieser Klavierauszug eignet sich tatsächlich zum Blattspiel und wirkt zugleich an keiner Stelle überladen. Schön auch, dass Angaben zur Instrumentierung im Klavierauszug nicht fehlen: Einen Bläserakkord spielt man auf dem Klavier eben anders als einen Streicherakkord.

Piano News, 2006

Zum Mozartjahr erscheint im Münchner Henle-Verlag eine weitere hochwertige Veröffentlichung, die in keiner Bibliothek fehlen sollte.

Ensemble, 2006

Pour la première fois ici, l’œuvre est publiée dans une édition critique prenant en compte sa forme originale.

Crescendo, 2006

András Schiff verzorgde voor Henle niet alleen de vingerzetting, maar vervaardige opnieuw een uitstekende reductie van de orkestpartij die volledig recht doet aan het klankbeeld en de stemvoering en bovendien pianistisch in evenwicht is met de solopartij..

Pianowereld, 2009

recommandations

autogenerated_cross_selling

Wolfgang Amadeus Mozart Concerto pour piano n° 21 en Ut majeur K. 467
réduction pour piano, Edition Urtext, reliure paperback
HN 766

23,50 € disponible

23,50 € disponible
Autres éditions de ce titre
Wolfgang Amadeus Mozart Concerto pour piano n° 27 en Si bémol majeur K. 595
réduction pour piano, Edition Urtext, reliure paperback
HN 1534

22,00 € en préparation

22,00 € en préparation
Wolfgang Amadeus Mozart Concerto pour piano n° 22 en Mi bémol majeur K. 482
Editeur: Cliff Eisen
réduction pour piano, Edition Urtext, reliure paperback
HN 1240

22,00 € disponible

22,00 € disponible